Ça suffit comme- çi !
Un Billet d’humeur, un billet d’humour : n’est-il pas la politesse sans désespoir ?
Au moins, tout le monde aura la fève… Di ce n’est la galette d’immunité progressive d’une population. Assez de passe-passe, faut que ça se passe…
Assez des bouts de papier-toilette triple épaisseur sur le museau de millions de gens, en extérieur. Bien sûr, cela pourrait être pire. On pourrait devoir porter des masques à gaz en cas de vraie crise mortelle…
PrièreBientôt un monde non-covidé,
sans tours de pass-passé
Sans bout de PQ à trois plis
sur le nez
des profs et des élèves
toute la sainte journée
Oui, oui, je sais
ça pourrait être pire :
Masque à gaz
contre la pollution réchauffée
Au lieu d’la gaze sur le nez ?
Nouveau slogan « anti-tout » :
« Deltacron, tête de c(r)on ! »
#marreducovid Il nous pourrit la vie, tout est interdit, même prendre un café debout au comptoir. Il faut être assis, passif, plein tarif. Il y a deux ans, auriez-vous imaginé ne plus pouvoir faire cela ?
Alors, changeons de sujet. Voici un carrelage manganèse, puis un chou rouge formant beau motif d’azelujo manganèse. Autre chose que la galette des rois… co-vidés !


Actu décisive : Tout cela ne nous dit pas si le pape de la terre rabattue, « Joe Kovid », s’est vacciné depuis la disparition d’Igor Bog’ le non non-vacciné,comme son frangin en massepain. Disparition si médiatisée…
Réponse ? Non ! Djokovic jouira d’une dérogation médicale pour taper la balle jaune. Non, en fait, il ne jouera pas.
On soupçonne encore un bug, voire un bog da novo ano…
Breaking 🆕 : Le fameux bog informatique prévu pour le Nouvel An 2000 (qui n’avait pas eu lieu) est inculpé. En 2000, le co-vide ne jouait pas encore les prolongations avant de devenir light : deltacron le sera, espère-t’on…


🪲🐛
Pic 1: #Bansky le vulgarisateur sociétal – Pic 2 : Processus de création de la Madone lisboète que je croise au carrefour en haut du parc d’Alameda, par #INRI
Sacrées truffes ! Picnic 🧺 riedelien
Dans un TGV vers « Milano porta Garibaldi », après qu’on conducteur blabla m’ait planté à J-2 pour mon trajet vers la 🗻
- Brie truffé
- Demi-barquette de céleri à dlc au 21/12/21 et ses copeaux de foie gras entamé depuis 10 jours, mêlé à de délicats champignons blancs origine Pologne garantis radieux, finement tranchés, 3 tranchettes tomates confites réhydratées par ébullition en même temps que les pâtes de l’autre jour, 9 olives d’un prodigue marché du 9-3, ce sont les meilleures du 9-3.
- fin de l’ananas épluché dimanche d’autant plus goûtu qu’à la lisière entre sur-mâturité et confit de froid par effet- frigo. Un soupçon d’Espelette. Un humble délice qui change des sandouiches et des burgers d’esclaves des multinationales
– Tourte périgourdine au foie gras truffé
– Croque-monsieur truffé
– Purée mousseline à la truffe
– Les pâtes Ligurie truffées aux lardons, saucisson et parmesan
– Les omelettes aux truffes
– Les ravioles truffées
– La quiche truffée en provençale, blettes et châtaignes
La pâtisserie :
– Riz au lait à l’impératrice truffé
– La truffe en Bisounours au chocolat lait
– La tarte aux pommes caramel truffée
– La glace vanille truffée sur sa douceur de marrons glacés
– Le calisson à la truffe et aux amandes
– La Forêt Noire à la truffe et cerise
– La tarte briochée à la crème truffée
– Le petit vomi de Brie truffé
On a vu Anselm Kiefer au Grand Palais éphémère
On kiffe cet artiste, qui rendait hommage au poète Paul Celan, dont les parents sont morts en déportation. Il se jeta pour sa part dans la Seine à cinquante ans. Gloups !




Photo 1-2 : pantins de la consommation. La spirale de l’arobase, le monde comme un supermarché infernal, en ligne ou physique ?
Au-delà de cela… Un pur bonheur, ces grands formats telluriques d’Anselm Kiefer, découvert lors de la première Monumenta, retrouvé ici.
Des toiles géantes irradiant les écrits de Paul Celan auquel hommage est rendu
Je retrouve l’esprit puissant, le sens du devoir de mémoire de cet artiste qui grandit
Après-guerre
Parmi des ruines
en bord de Rhin, près de Strasbourg
Son sens de la nature, des accumulations de matières paysagères
Un certain romantisme inaliénable du meilleur de l’esprit Allemand
OOn kiffe Kiefer : Avec lui, il y a aussi une vie après #beuys
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Kiefer ist tiefer : Kiefer est plus profond

Le lait noir de l’aube…
« Kiefer a dédié cet accrochage au poète Paul Celan, qui fut envoyé en camp de travail forcé et perdit ses parents dans la Shoah. Les vers de cet auteur roumain reviennent depuis longtemps dans ses toiles, citations brèves. Mais cette fois, c’est comme si le peintre nouait un véritable dialogue avec le poète, au cœur même de ses compositions.
Dans le tiers inférieur des tableaux, Kiefer a d’abord recyclé certains de ses grands paysages terrestres, parfois peints il y a plusieurs années. Des vues travaillées dans une pâte épaisse, en haut-relief, où s’agglutinent, ici des épis de blé, là des fougères, ailleurs des vêtements d’enfants ou des tessons.
On y devine des échos directs aux images de Celan, le « lait noir de l’aube » le « champ de vent hivernal », « une volée de cognées » ou les « épis de la nuit » qu’ « un mot/dans la bouche des faux, incline sur la vie ». » Source : La Croix