La quintessence de cet écrivain sachant rayonner modestement vient plus bas….
Font peut-être pas le printemps, les hirondelles…
Peu importe
Pourvu qu’elles me fassent le thé !
Les hirondelles vues dans la montée à Vienne étaient plein ciel au réveil à siffler dans les oreilles,
Bienheureux j’étais de les entendre chantonner leur trajectoire, bien content de prendre le thé dans le ciel avec elles j’étais
Doucement elles survolaient le rbnb tout neuf où j’habitais 2 nuits
A côté du théâtre romain antique de Vienne
Qui était plein de Jazz pour les 10 nuits du festival Jazz à Vienne
J’étais bien, là, à Vienne
Dans une de ces villes à sept collines
comme Saint-Étienne, Lisbonne, Rome ou Jérusalem…
Je grimpais deux matins vers le sommet du Mont Pipet, un ancien site romain
Dominant le théâtre romain antique où
a lieu ce beau festival de Jazz
En gravissant ce sommet minuscule vers le mont Pipet au passé Romain antédiluvien
On passait le long du sempiternel cimetière de sortie de village La rumeur de mon foie colonisé par une tumeur exponentielle s’y étendait aussi vite
qu’une cryptomonnaie
par temps propice
Au sommet du mont Pipet, on jouit d’une vue panoramique sur les méandres du Rhône
Serpentant entre les départements Isère et Vienne, qui ici se font face
Devant, le musée gallo-romain sur l’autre rive,
En bas se produisait, d’abord en lecture puis en performance, accompagné à la guitare par Yann Pechin…
Alain Damasio, l’homme de l’essai « Les furtifs », ayant écrit dans les quarante livres
Il dit, plutôt justement, qu’il faut combattre le capitalisme sur le terrain du désir. En tentant de le convertir vers une alchimie zoomorphe, une alchimie de partage avec le vivant qui gagnerait à faire plus que nous environner.
On devrait là se métaboliser, se remettre à jour, mais sans la dictature technologique du mobile et de la Maj à push qui nous gouverne.
Une capacité de métamorphose, une sortie de l’assignation à une personnalité, à une seule identité, pour se renouveler… Être trois ou cinq tout seul, à la fois. S’agit pas d’être schizo, comprenons-nous bien…
Se transformer en cerisier, peut-être, comme dans l’une des premières nouvelles d’Alain D, ou en réveil matin. Comme le personnage nommé « Réveil Martin » : « un des pires jeux de mots que j’ai jamais fait !«
Sans se cloner,
S’agirait juste de se pouvoir
dédoubler,
De sortir de soi,
Comme Rimbaud
ou Pessoa
Il faudrait en finir avec Elon Mask dt la communication galopante
avec les montagnes de sucre des réseaux sociaux.
Ça, c’est un mien mauvais jeu de mots : Zuckerberg veut dire « montagne de sucre ». Donc montagne de vaines accumulations de liens et amitiés factices… Tout juste bonnes à suçer les datas, les données des gens
Les GPS, la technologie nous fossilisent le cerveau, ajoute justement un physicien dans le public…
Avec leurs masques de trolling sur réseaux, vendant la meilleure ou la pire version de soi, avec les filtres « gafatiques » addictifs qui nous réduisent à peu d’esprit.
Par exemple, le gps, qui nous réduit à force de déléguer l’orientation.
En 18 mois, dans une étude, des taxis londoniens formés au gps avaient perdu tout sens d’orientation en leur ville….
Les personnages de son livre Les furtifs s’appellent Lorca, Varech… Ils ne voient pas, cela les détruirait, ils sentent, ils sont, ils sont dans l’écoute des sons, ils se pétrifient comme des gorgones dès qu’ils sont vus…
On ne peut plus les voir, parfois, et cette cécité rend un personnage de Damasio stérile, incapable de créer…
La fossilisation est un phénomène rare, ajoute le scientifique paléologue Sébastien Mas.
On peut se fossiliser ar l’acidité, par la glace -comme la momie Ötzi – par l’ambre, comme dans Jurassic Parc.
J’aimerais bien finir gravé dans l’ambre, en une sorte d’élégance ergonomique, plutôt que comme une éponge moisie, un futur décomposé de plus
Parmi tant d’autres
Je suis aussi pour…
Une biologie spéculative des animaux du futur, par exemple à l’échelle de 10 MA (Millions d’années)…




Damasio est pour une polyphonie de personnages et de visions, pas seulement une voix négative
comme celle d’un personnage de Houellebecq ou de
Despentes
Il est pour autre chose qu’une Descente aux Enfers
À la Vernon Subutex
Au Tramadol…
Le cyberpunk, millésime 90/2000, il n’aime donc pas trop
moi non plus d’ailleurs
C’est un poil trop manichéen… Alors, on le remplace par un HopePunk Multipoints de vue
Parce que qu’il faut sortir d’une noirceur monovoix, d’un narrateur unique, monobloc, en quelque sorte.
Plutôt favoriser des variations affectives pour sauter d’un personnage à l’autre, des ondulations en mode chercheur…
Des résonnances avec les envies de dépasser les limites fixées, aux jeunes aussi.
Deleuze disait qu’il ne faut pas peindre son égo sur le monde, mais peindre le monde sur son nombril.
Je conclus en intervention que l’on…
« L’on voudrait être un arn messager un adn messager,
Souhaitant décrasser les idées de futurs trop petits, trop médiocrement formatés … »
Le numérique a été désigné pour maximiser la dépendance aux plateformes, entre autres par l’accumulation des notifications… Le patron de Netflix dit que son seul ou pire ennemi est le sommeil des gens…
En tout cas, il reste beaucoup d’espèces à découvrir…
Il faut laisser le temps au désir
Il a été dégradé en pulsion par le capitalisme. C’est le pourquoi du format vidéo YouTube de deux minutes. Ce serait le temps limite d’attention d’une pulsion…
Il fit qu’il s’est battu contre l’éditeur, enfin la maquette, pour imposer un ton « jaune fort » sur la couverture des Furtifs.
Histoire d’entrer dans la couleur, comme le Deleuze du suicide de Van Gogh entre dans le jaune.
Alain D dit aussi « On n’est pas allé au bout de la forme libre, typographie, livre, etc… »
C’est chic. Une petite marge de rébellion chicissime : celle des écrits et performances d’Alain Damasio.
Mieux vaut cela plutôt que rien et le trop-plein de tout, mieux vaut faire rêver un peu, faire se projeter dans une fiction de l’ordre du « HopePunk » dans les 100 000 lecteurs. Plutôt que rien…
Au sujet du HopePunk
Une littérature d’anticipation tendance post-punk mais pas Desperate, pas désespérante, on a compris. De tels scénarios étaient imaginés à l’été 21 a la cité des sciences de la Villette, Paris :
Avec le projet Renaissances, la Cité des sciences et de l’industrie dévoile six futurs souhaitables, imaginés par des auteurs jeunesse. Loin des dystopies, ces récits sont « Hopepunk », centrés sur un futur porteur d’espoir. Après la publication d’un recueil de nouvelles et une expérience en ligne, la Cité des Sciences nous invite à découvrir l’exposition au musée, du 6 juillet au 29 août 2021.
L’océan est en feu, un virus ravage la planète… En ce moment, le futur ne semble pas brillant. Et si, malgré tout, un avenir radieux nous attendait ? La Cité des Sciences et de l’Industrie présente Renaissances, une exposition inédite qui nous redonne espoir. Du 6 juillet au 29 août, découvrez trois récits à mi-chemin entre la fiction et la réalité, qui nous font entrevoir un futur éclatant.
Comment sera la Terre, comment vivront les humains en 2023, 2029, 2045… ? Venez le découvrir à la Cité des Sciences, dans un espace d’exposition de 1 300m². Cette exposition interactive nous invite à jouer, faire des choix et façonner notre futur. Renaissances mélange science-fiction et prédictions scientifiques dans un parcours qui nous confronte à la réalité de notre monde et à ce qu’il pourrait devenir.
On commence par un état des lieux : pollution, changement climatique, déforestation… Puis vient l’heure des choix. Cette expérience forte nous pousse à nous questionner : que pouvons-nous faire, que sommes-nous prêts à faire pour sauver notre monde ? Nous voilà plongés dans trois histoires, trois futurs à vivre, pour poser sur notre avenir et nos actions un regard différent.
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Futur proche ou plus lointain, la Cité des Sciences nous met face à notre survie, aux scénarios apocalyptiques dont on entend toujours parler, et à la formidable résilience des humains, prêts à survivre et à s’entraider malgré tout.
Films, sons, images, questionnaires… Cette exposition multimédia voudrait bien vous bouleverser et changer votre regard sur le monde…
S’échapper des idées reçues…
Transcender mes blocs noirs d’angoisse, aussi :






Antécédents de sigmoïdectomie avec rétablissement secondaire de la continuité en 2019. Chirurgie du foie
gauche pour localisation hépatique en 2020 avec cependant missing lésions. Embolisation portale. Précédent
examen tomodensitométrique effectué le 18 juin 2021.
TECHNIQUE :
Acquisition coronale FIESTA.
Acquisition axiale diffusion.
Acquisition axiale T2 FAT SAT.
Acquisition Lava-Flex 3D sans puis après injection de gadolinium avec acquisition aux temps artériel, portal et
tardif.
RESULTAT :
Petit foie gauche en rapport avec les antécédents du patient. Le foie est le siège de deux formations nodulaires
d’aspect secondaire. La plus volumineuse intéresse les segments VI et VII, mesure 102 x 80,7 mm. Elle apparaît
nécrosée en son centre. La 2e formation siège en périphérie du foie, à la jonction des segments VIII et IV et
mesure 19 x 12,7 mm. Ces deux formations ont une taille sensiblement identique par rapport à l’examen
tomodensitométrique du 18 juin 2021.
Il n’y a pas de nouvelle lésion. Absence de signe de stéatose hépatique et sur la séquence en opposition de phase
Pas de dilatation des voies biliaires intrahépatiques ni de la voie biliaire principale.
Aspect perméable des veines hépatiques. Bonne perméabilité de la branche portale gauche. Oblitération de la
branche portale droite qui n’est plus nettement visible.
Pas de lésion visible au niveau du pancréas.
Pas de dilatation du canal pancréatique principal
Pas de restriction de la diffusion mise en évidence au niveau pancréatique.
CONCLUSION :
Présence de deux formations nodulaires du foie droit d’aspect secondaire, la plus volumineuse étant
largement nécrosée en son centre, sans modification significative de taille par rapport à l’examen
tomodensitométrique antérieur du 18 juin 2021. Thrombose de la branche portale droite qui n’est plus
nettement visible
Absence d’épanchement intrapéritonéal
Vous êtes une élégance ergonomique mon ami.
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