Qu’est-ce qu’on est gâtés en capitale, quand même ! On a ni mer ni montagne, mais toutes les formes de culture imaginables !
Il arrive que ce soit via des fondations de promoteurs immobiliers concédant des friches temporaires. Des lieux abandonnés, non. Des lieux en devenir…
C’est aussi, c’est d’abord pour soigner leur image de marque. Pas grave. De toute façon, les motivations ne sont jamais pures. De toute façon, il n’y a pas de vraie pureté, sauf dans les peintures romantiques.

Puisqu’il a fallu en revenir (du romantisme), on ira à L’Essentiel.
Un très beau parcours, une ancienne poste à belle façade de briques rouges déjà rénovées. Ce sera cet automne un futur complexe mixte bureaux- logements-espace de travail partagé, si j’ai bien compris.
Maintenant, c’est un super espace de 2000 m2 brut de décoffrage comme on les aime, unne vingtaine de pièces sur trois niveaux, plus encore d’artistes.
Allez lire tout cela sur leur site. Visite guidée par groupe de 19 personnes avec l’une des deux médiatrices. Ou la commissaire d’exposition, une super passionnée souriant tout le temps en parlant.

C’est chouette. Allez visiter cette exposition, gratuite, en + ! C’est appréciable (par rapport aux mentalités de tiroir- caisse… quand on est pas sponsorisé par un promoteur) dans l’ancienne Poste de la Gare de l’Est. En arrière-plan, une énorme centrale électrique est toujours active…
Évidemment l’Expo s’appelle l’Essentiel… puisque l’art ne l’était pas… Bien vu ! Il est essentiel. Avec le soutien d’un promoteur immobilier ou pas.
De toute façon, il y a toujours eu des mécènes, des rois, des princes. Et donc des phénomènes pour être bien vu à la Cour du Roy, des copinages, des trafics d’influence. Ils sont essentiels…
Réserver ici pour y aller
L’Essentiel est LE spot d’art urbain de l’été à Paris !
« Plus de quarante artistes de renom investissent un ancien centre de tri postal, à deux pas de la gare de l’Est. Cette exposition collective éphémère s’étend sur 2 000 mètres carrés et deux étages. Placé sous la direction artistique d’Élise Herszkowicz (d’Art Azoï), du réalisateur Cristobal Diaz et du plasticien Lek, le projet est d’une force bouleversante.
Quelques règles étant imposées, chacun sort de sa zone de confort habituelle pour faire œuvre commune, harmonieusement, en n’employant que les couleurs retrouvées sur place et en respectant un emplacement adapté à son travail.
Gérard Zlotykamien, l’aîné, glisse les silhouettes de ses personnages dans une pièce toute bleue percée d’une fenêtre, juste à côté d’une installation de Katre. Sébastien Preschoux tend ses sculptures de fils de couleur dans un savant jeu de perspectives… On retrouve encore Sowat, Ella & Pitr, Nelio et bien d’autres encore. La puissance d’un art collectif. » Source – Télérama 11/7/21
Jusqu’au 29 août, square Alban-Satragne, Paris 10e.
Rien à voir, sauf l’art…
On aime cette récente série de l’artiste urbain Levalet, rue Princesse


Une nouvelle série de #levalet
#streetart #streetsyle #parallespotentiels #bars #75006
Le bonus
Si content de me voir
Resplendirapetissant
Dans les beaux jours d’un avant-dernier été présumé, prenant un thé au rhum au bord du précipice de l’époque… O, les beaux jours !