Le monde entier devrait être » pour le climat ». Ou plutôt contre le lâcher prise, la démission financière des puissants, la politique de « Après nous, le déluge » en guise de souci du surlendemain. Confronté aux dégradations sans nom dont Mère Gaïa est la victime. Confronté aux changements climatiques de la petite boîte planétaire sous vide atmosphérique que nous habitons. Ce modèle unique dans l’espace, cette espèce d’espace habité a priori unique…
Jardin du Ruisseau, Paris
Poétique de l’espace
Il faudrait investir pour cette noble cause 3000 milliards de milliards de Doleuros. Le pire est que cette somme est disponible. Elle est peut-être équivalente au trop plein accumulé par les multinationales, ultrariches et gros actionnaires obscènes, issus de tous les horizons de la fortune.
La FMT plutôt que le FMI…
Or, une transmission de, allez, juste 50% de leur obscène fortune accumulée à une « Fondation mondiale pour la Terre » suffirait à se lancer dans les efforts contre le réchauffement calculés par les rapports à la pelle du GIEC.
Quel scandale ! Cela ne sera pas le cas. On qualifierait une telle initiative de communisme climatique, non ? Antiliberal ? Vous n’y pensez pas ! 36 000 fois hélas. OOn aimerait tant se tromper…
Pause bucolique au droit du Vert-Galant, fin des beaux jours, 2089
Que faire de l’hypothèque de l’avenir mondial à laquelle procède notre présent ? Les investisseurs vivants en quête de profit actuel n’ont cure de l’avenir. Puisqu’ils ne le seront plus. Vivants.
Oui, la quête de la rentabilité maximale est un sinistre court termite. Est-il poilu ou glabre, ce termite court termiste ?
Questionnaire foutraque
L’entre-soi vaut-il mieux que rien ? Le monde sauvera t’il sa perte annoncée à l’horizon 2100 avec un crédit à taux Zéro et une poignée de héros des bonnes nouvelles ?
Que penser des nouvelles routes de la soie ?
Pourquoi y a t’il de L’entre-soi plutôt que rien ?
Commentaires :
JL Boul : Mieux vaut l’entre-soi que l’entre-seul. Surtout si l’entre-sol n’a même pas un rayon pour éclairer ton ego…
Moi : Certes Jean-Luc. Dieu merci, L’entre-soi clivant est doté d’un spacieux entre -sol ensoleillé.
Thierry M : le monde est peuplé d’entre soi, c’est bien aussi de se sentir libre et de pouvoir sauter d’un entre soi à l’autre, c’est une forme de résistance au consensus…
Moi : Superbe Thierry, merci. Rebondissons de soi en soi ! De nous en nous. Car il y a un besoin de collectif… manquant. On veut nous mettre en ligne Comme jadis à la chaîne…
Reste le point deux. Je le répète :
Que faire de l’hypothèque de l’avenir mondial à laquelle procède notre présent ? Les investisseurs vivants en quête de profit actuel n’en ont cure. Puisqu’ils ne le seront plus. Vivants. Oui, la quête de la rentabilité maximale est un sinistre court termite . Est-il poilu ou glabre ?
JLBou : Le sujet ne rasant pas les pâquerettes, il ne peut être mal velu…
Emmanuelle Mot :
Il n’y a peut être pas de libération possible dans la maya? Débat possible au clair de Lune rue Ramey c’est pas vraiment entre soi mais plutôt entre nous les humains! L’invitation à débattre en live de l’entre « Nous » une petite « réunous », ceux que ça branche et qui sont motivés à créer comme ça en passant un peu de convivialité.
Bonne journée, l’ami !
Thierry M :
Et oui, mais l’entre soi c’est bien, mais là ou le bât blesse, c’est qu’on y prend pas grand risque… Un exemple parmi tant d’autres, discuter de la chasse et de ses méfaits (ou de ses bienfaits, si ça existe..) dans un bar du 19eme c’est gentil tout mignon, résistant, biodiversiable. Mais quand il s’agit d’aller le dire à une troupe de chasseurs venu abattre froidement un cervidé dans votre jardin, là on est dans l’action (ou pas..).
Ça m’est pas arrivé, mais quand je vais à Paris, je sens un peu cette ambiance (parfaitement rendu dans cette photo par ailleurs) de rebelle bio qui gueule contre le « systeme »mais qui en font completement parti. Mais je vous apprends ,rien , j’en suis toujours un aussi,, et que dirait un ethnologue venu de Mars en nous voyant …
Moi : Ma foi, la chasse m’ennuie, les chasseurs sont à jeter. Faire des bisous à ma carcasse de poulet fourrée aux fruits rouges périmés…
Et c’est toujours ce que les affreux font à l’avenir du monde qui me chagrine, bien plus que la biche ou le cervidé martyr. Qui sont bien sympathiques… Et si beaux. Le Musée de la chasse ( dans le Marais parisien de L’entre-soi) sait les magnifier. Ils sont bien sûr morts, naturalisés. Des animaux réduits à l’état de breloques fossiles…
MacCain n’a plus la frite, Hulot démissionne par sincérité, ah la la ! Rentrée rose, eu égard aux revendications incessantes du lobby 🌹qui a besoin d’affirmer sa légitimité ?
Et forcément morose… Sans le petit Nicolas qui refuse d’être son propre instrument. Ce qui est tout à son honneur. Même s’il fut toujours une marionnette media bien sympathique. Bern menace de partir. Comment faire pour sauver le patrimoine du monde ?
God save the… planet!
L’art au balcon, l’âme de fond. L’élan vital est l’énergie de tout être. Concentrons nous sur ces instants de lui cherchant dans son regard de l’art. Le don de l’art aléatoire partout dans son regard de spectateur du monde
Les formes d’art la splendeur des réalités terrestres à chaque seconde entrevues. Jusque dans le cochon, pochon, polochon sur un balcon
L’art est de peu dans le pochetronc. Sur un tronc, il est bien présent. C’est la peau d’un arbre, toucher son corps d’arbre derrière l’écorce, j’adore.
Il y a la beauté du 🍋. C’est beau à pleurer, un jaune citron. A peine plus que chaque détail de cette image…
A peine perdue, joie retrouvée.
Ainsi parlait Chris de Lis’ Zoustra
Ici polochonnant, entre deux soustractions d’idées, sur un balcon de l’arc alpin. Un arc à tendre en direction d’un absolu à toucher du doigt.
Toucher du doigt le tronc des arbres croisés, en l’occurrence des eucalyptus lisboètes. Leurs feuilles et glands prélevées, conservées dans un herbier oublié…
Que le bien sauve la planète. Good save the planet.
Que les biens accumulés par la névrose d’accumulation de richesse sauvent la planète… Let’s do it!
Even 🐝 do it…
L’élan vital est l’énergie de tout être. En particulier cherchant dans son regard de l’art. Le don de l’art partout dans son regard.
Dans la splendeur des réalités terrestres chaque seconde entrevues. Jusque dans le cochon, pochon, polochon. Sur un tronc, oui. C’est la peau d’un arbre, toucher son corps, j’adore. Bis.
Il y a la aussi la beauté du 🍋. C’est beau à pleurer, un jaune citron. A peine plus que chaque détail de cette image ou j’ai glané pâtissons et tomates d’une AMAP…
A peine perdue, joie retrouvée.
Ainsi parlait Chris de Lis Zoustra
Ici errant à Ericeira
(Après le départ de ses fillottes)
Je ne pense pas que la beauté sauvera le monde. Mais notre rapport a la beauté nous préserve de la dévastation du monde. De l’idée intolérable de sa mise à mal par les forces du fric.
Niki de saint-Phalle et Jean Tinguely, fontaine place Stravinsky- Beaubourg
Shiny Magic lips! Brillantes lèvres du beau temps, jet solaire…
Extension grotesque ( puisque ce monde l’est, pourquoi s’en priver).
Notre cOOming out
« Moi aussi, j’ai été violé par Asia Argento, en 2001. Et elle a remis ça en 2018 dans les toilettes du Jules Verne, à Paris. »
L’avis de Serge Tisseron, meilleur psychiatre de France, au Label Rouge 2022
» Ayant visionné le doc video sur youtube, je confirme le sentiment forcément mi-fugue, mi-raisin qui en découla chez la victime. D’autant plus que les faits se sont produits en haut de tours jumelles new-yorkaises vibrantes en 2001. Ce fut le climax de l’Odyssée d’une espèce. »
La sextape est entre de bonnes mains. Celles de Donald Benallal Trambo.
#metoo #parallelespotentiels #douteux #fakenews
Sérieusement
Mais je dis non : votez pour les forces du bien. Ce sera mon parti. Et j’ai mis un peu de beauté en photo de une. Parce que l’espoir fait vivre.
#GoodSaveThePlanet #GoodSave Earth #FMT #parallelespotentiels
» Un camion poubelle chaque minute est déversé dans l’océan. Et un stade de foot amazonien est en déforestation chaque jour. Si rien ne change, ce sera l‘équivalent de 2 camions d’ici 2030. Chaque année, en France, 30 milliards de mégots finissent dans la Nature. »
Paris, le 13 septembre 2018 – Alors que reprennent cette semaine les débats en seconde lecture sur le projet de loi dit « EGAlim », pour l’équilibre des relations commerciales dans le secteur agricole et alimentaire et une alimentation saine et durable, la Députée LaREM des Hauts-de-Seine et Questeure de l’Assemblée nationale Laurianne R redépose son amendement pour des cantines sans plastique, co-signé cette fois par 121 députés…
» Conscience ? Le bruit des ailes affolées contre la vitre du monde »
Poème lauréat du métro parisien
Conscience ? L’affreuse résignation au fracas. Puisqu’on y peut rien…
Et le puma a disparu. Et, bon sang l’orang-outan mange des sacs en plastique en mer ! Bon, cela n’est pas vrai. Mais il disparaît.
« Pepsi et Nestlé sont toujours en affaires avec le bandit de l’huile de palme, Indofood. Indofood a été prise en flagrant délit de destruction de l’habitat des orangs-outans dans la forêt tropicale indonésienne, faisant travailler des enfants et payant des salaires de misère à ses travailleurs.
Mais avec votre aide, nous avons un plan pour l’arrêter.
Le plus grand organisme de certification d’huile de palme au monde, la RSPO, a le pouvoir de mettre Indofood sur la touche. Mercredi prochain, avant l’une de leurs réunions les plus importantes de l’année, nous allons faire monter la pression d’un cran !
Grâce à votre don, nous achèterons des encarts publicitaires et diffuserons une vidéo choc exposant les ravages causée par Indofood. Cela forcera la RSPO à exclure Indofood du marché une bonne fois pour toutes. Mais nous ne pouvons pas le faire sans votre aide.
Les forêts tropicales d’Indonésie et de Malaysie, qui abritent orangs-outans, éléphants pygmées et des milliers d’oiseaux rares sont en train de disparaître à un rythme alarmant. Pourriez-vous faire un don de 1 € pour les sauver ? »