« Le monde est un con dont le moteur tourne pendant qu’il téléphone en stationnement (sans penser à le couper). Et vice Versa. »
Neuvième principe de la thermodynamique contemporaine du con à moteur.
Je pense aussi que si tous les conducteurs à moteur allumé du monde se donnaient le pot en bouche à bouche (comme on dirait la main), ça ferait une sacrée bande de corniauds à moteurs en moins sur Terre. Elle ne s’en porterait que mieux.
Ceci étant dit, ma présence ne lui fait ni chaud ni froid. Mais la leur ? Oh, non plus. elle n’est plus à ça près, la Terre. elle est devenue leur poubelle planétaire. C’est ainsi.
C’est ma variation sur le « Full of sound and fury » de Shakespeare, faisant dire à son Macbeth :
« Life’s but a walking shadow, a poor player
That struts and frets his hour upon the stage
And then is heard no more: it is a tale
Told by an idiot, full of sound and fury,
Signifying nothing. «
Macbeth.
Ma fonction/fiction de Don Quichotte
est d’intimer au conducteur (du monde ou du coin de rue) laissant tourner son putain de moteur, de lui ordonner, pour ceux qui naquirent à G+2 après moi, de couper le contact de son moteur. Poliment si possible, le quota d’agressivité de l’échange ayant tôt fait de se retourner contre l’émetteur, parfois au péril de ses jours. D’où friction. Quantifiable, inqualifiable. Car evidemment, le corniaud à moteur prend très mal qu’on lui demande de le fermer. De quoi je me mêle ? Contre-attaque t’il, déjà molosse du coin des lèvres en un rictus de haine urbaine.
Bis : Penser que si tous les conducteurs à moteur allumé du monde se donnaient le pot (comme on dirait la main), ça ferait une sacrée bande de corniauds à moteurs en moins sur Terre. Elle ne s’en porterait que mieux. Ceci étant dit, ma présence ne lui fait ni chaud ni froid. Mais la leur ? Oh, non plus. elle n’est plus à ça près. elle est devenue leur poubelle planétaire. C’est ainsi. Oh, bien sûr, ils sont une goutte d’eau dans l’amer de la perte du monde. C’est ce qu’ils se disent. Mais ils polluent le type à un mètre d’eaux. Et là, c’est pas de l’eau, c’est pas de l’au-delà. C’est ici et maintenant.
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Epique de pollution de décembre
Comédie musicale : Nos vies de particules fines, abstraction de la pollution qui tue sans mot dire en jour pair ou impair. Je continue à aller courir comme un crétin positif dans son jus d’époque, se disant que « cela vaut peut-être mieux que rien ». Peut-être.
Pourquoi y a t’il quelque chose plutôt que rien (et l’excès de tout) ?
Une certitude, relative :
la beauté est ce qui rend le monde supportable
Variante : le monde est une bande de chauffeurs sans tête téléphonant à moteur tournant. Les mots échangés seront absorbés par le CO2 dégagé, sans recyclage d’énergie passive. Bien au contraire…
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Uberisation du monde,
trumpisation des consciences
Au delà de l’ambition de rentabilité affichée par les actionnaires majoritaires de tous les secteurs industriels (qui sont de facto un Etat mondialisé), ce monde achève de devenir le dividende des 1% qui en tirent les plus substantielles richesses. Menant le cheval à sa perte durable. Comme un monstrueux casino dans un Tim Burton ?
Cela n’est pas un scoop. Mais le redire permet de gagner au moins 10 points dans sa propre conscience. C’est déjà ça.
PS : Le monde n’était pas censé être rentable.
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Un peu de politique locale en fin d’année
Cette expression médiatique : Valse hésitation, la transformer à l’heure de sa candidature en…
Valls (est) sans hésitation
Bcp de travail de remaniement (pour pas grand-chose ?)
Car enfin, Manuel risque fort de se prendre les prochaines élections
dans le Fi(lli)on
Pour cause de Droitisation des consciences
& Trumpisation de l’Occident
PS : Facebook fête mes 9 ans avec
une chasse d’eau et un Pin Trump. Gloups !
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« L’explosion du tourisme espagnol (et portugais) durant l’été 2016 fera date. »
A raison, cette progression constitue une performance remarquable qu’il convient de saluer. Mais les signes positifs ne devraient pas cacher des signes sociétaux inquiétants pour l’avenir du tourisme. En particulier, le ras le bol des populations résidentes. Analyse d’un mal à ne pas prendre à la légère. »
Faut-il-s-inquieter-du-developpement-de-l-anti-tourisme ?
CR : Le monde n’est pas un produit ! Mais il est de plus en plus considéré comme tel. Sur fond de petits arrangements (avec la couleuvre que l’on nous fait gober sous le nom de crise), lui comme ses habitants deviennent des « produits réceptifs » au sens industriel du terme.
Le constat serait donc le suivant :
Industrie= excès= hystérie (au sens de trop plein) = rejet.
Certes, ce n’est pas un scoop ! Hélas et lâches intérêts sont trop forts pour créer autre chose que des chartes et autres labels institutionnels que peu respecteront…
L’anti-tourisme restera t’il un phénomène de niche ? Pourra t’il donner lieu à quelques scénarios de films de série B de tourisme- fiction ? Voire à des « shoot’em up » games ? C’est déjà parfois le cas dans cette fiction qu’on nomme réalité… On verrait bien des films de tourizombies, de plein cars de touristes de masse massacrés par des zombies mangeurs de tours organisés. Enfin, on peut rêver…
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Mien aphorisme d’octobre :
Qu’ai je dit qui ne le fut déjà ?
Que dire qui ne le sera pas ?
Qu’importe ?! Ceux qui feront
ignoreront (ce) qui fut et sera
Ils feront juste ce que bon
leur semblera
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🌔 Aie ! J’ai le sol’oeil dans l’ail.
Le sot l’y laisserait ?
Pourquoi m’en plaindrai-je ?
En attendant la neige… 🐉Oeil Deperdrix
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« Plus penser que dire. »
Telle est la devise de #barleduc en Meuse : Le barrinois était réputé taiseux.
Sage adage ? Adage de chat ?
Ce chat-là, discret petit duc a l’oeil vert,
Approuva peut-être. Silencieusement.
On le croisa sur un beau parcours Renaissance
qu’on peut faire à Bar-Le-Duc et Saint-Mihiel, près de la si connue Verdun.
de #MeuseTourisme
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Pierres d’un cairn (cumulus pierreux) glanées sur la Route Napoléon, bribe de métal du pied de la Citadelle de Sisteron, Alpes-de-Haute-Provence, gouttes de noisettes de Paris, haltères interlopes.
Avec #ericoliveduriou #visit04 #alpesdehauteprovence #art #ChristopheRiedel#landart #artsmodestes #routenapoleon #soleil #sun #light #life #lust #lustig#makeyourownartofalmosteverythingseen
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Climat : l’accélération du réchauffement dépasse toutes les prévisions.
Tchin ! Levons notre cube fondant aux generations futures… Le court termisme des termites actionnaires majoritaires du monde (le menant à sa perte ou mutation) leur doit au moins un toast.
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Le temps est transparent.
En 9 mois, le temps d’un naître, de janvier à septembre Je fus O céan, je fus Continents Je fus A mérique, Colorado, en septembre, couleur rouge (moins que dans l’Utah et l’Arizona) Je fus Amère-douce trique Denver et les Rocheuses pour 8 jours via l’islandaise R eykjavik (pour 24 heures : bonus) Je fus I ndonésie pour 9 jours, via Singapore pour 5 heures…
https://christopheriedel.wordpress.com/…/le-temps-est-tran…/
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Cochez la bonne case. 3 choix possibles
« Tout ce qui ne me tue pas me rend plus…
fort\faible\fou\toutou\loup\genou\caillou\hibou\mou\cou\tout
A dog day in Montmartre, Paris
#paris #dogs #montmartre
#sacrecoeur #pics #picoftheday #parallelespotentiels #france#aphorismesriedeliens
#aphorism
Photo Via #herminedelacroix
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My night light reveals my purple heart/ Enfin mon coeur luit dans la nuit. Made in France by #baccarat
2 stones. Left, from Aristote’s hill/ right, french Aude #aude #heart #stone #love #lava#whoknowswhat
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Je me souviens de l’Ambassade du Portugal a Paris, où les Pasteis de nata se ramaissaient à la main au dessert. Petit délice crèmeusement revanchard de petit-fils de camionneur portugais…
#parallelespotentiels #portugal #paris #ambassy #architecture #painting#lights #christopheriedel
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Je ne cherche pas, je déguste : La memoire est un élastique dont j’aime les incessants rebonds. On le poste, il revient comme un rouleau de bouleau… Comme un boomerang incessant. Un jouet mémoriel que je ne me lasse pas d’enlacer… Ce rouleau de bouleau-ci, glané, fut par moi postè de Joenssu, en Carélie du Nord finandaise. De l’autre cote, la Russie, qui a mangé l’autre moitié de la Carélie, Après-Guerre.
Poster un rouleau de bouleau
De bon matin
met en train
Post a tree #birch
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Lustre Baccarat, escalier d’apparat,décorum de nuit chez les Noailles, Place des Etats-Unis, Paris. Du Proust, encore ? Cet encore, le servir chaud, sans prout de marketing produit ni lucre, avec une pincée de temps passé. #proust#makeyourownartofalmosteverythingseen #ChristopheRiedel #baccarat. Ce qui en arborescence me rappelle les billards Proust… Autre belle Maison de jadis.
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Peche de truite arc en ciel
Deguisement saumon,
Il y a 2 heures
Encore en Carelie du Nord.
.#visitfinland #visitkarelia
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Je relance le concours « A tire d’ailes » !
Ici : Carélie du Nord, Finlande, septembre.On s’échappe… A tire d’ailes
Lumiere helicoidale ATR-72. en fait, c’est un Embraer, comme le précise la notice dans l’avion, stipulé à tort sur mon billet comme un ATR-72 et qui lui ressemble fort..
Sky composition\decomposition
#parallelespotentiels #christopheriedel #finland #atr72 #planes #sky #finnair#compositions
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Irremplaçables cartes postales : substance, essence, matérialité d’une missive fictive.#cartespostales #ecriture #writing #postcard #whoknowswhere #towhom #envoi#send #mailbox #fiction #love #lips
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Au Colorado, depuis la legalisation en 2012 de l’usage fumeux dit recreatif, les fines herbes sont vendues dans ces dispensaires (c’est le terme) très clean, pro, filière privee. 30% revient a L’Etat, qui reinvestit soigneusenent. Naissance d’une industrie et d’un entrepreunariat… Drºle de biz !
On connait un Français et sa mère qui s’y sont installes apres avoir tenu un bar à Shanghai.
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NB : Les trembles sont des arbres, precision pour nos jeunes #lol #amis
Toute sauvagerie/wilderness est bonne a prendre, n’est-elle point ?Ici, preès d’Aspen, Colo, USA
#snowmass #sunset #games #fun #ivoyages #travelblog
#parallelespotentiels #coloradoLive #sky #trees #wilderness #aspentrees#snowmass #trees
Petits restes des Montagnes Rocheuses, 3 jours après retour.
Feuilles de tremble fanant
sachet de cafe d’hotel
Petite sauvagerie de la Nature
memoire vive des tons automnaux
PS : Le Nevada joueur n’est pas loin du Colorado où des villes minieres fantomes ont ouvert des casinos pour se remplumer.
Relieves of my Rocky
Leaves of Aspen tree wilderness
Grounded coffe idea
To wake up the inner cow boy?
3 days after return

#rockymountains #aspentrees #colorado #rockymountains #snowmass#stones #trees #parallelespotentiels
#travelbloggger #ivoyages #coloradolive #christopheriedel
#oumagazine #usa #backfromusa
#wilderness
Feuilles de trembles, aube, leaves of Aspen trees

#travelblogger #parallelespotentiels
#coloradoLive #colorado #aspentrees
#usa #riedelian #compositions #trees
Ces nuages formant des ovales
De vaisseaux speciaux
Phenomeme du aux Rocky Mountains
Du cote du West Vail Pass

CMC ! Clair matin Coloradien
#colorado #coloradoLive #ontheroad #parallelespotentiels #landscape #sky
#travelblogger #christopheriedel #ivoyages #oumagazine
L’etait vraiment mimi

Comme chez papimami
My Inn, Frisco, Colo.
#coloradoLive #frisco
In the middle of Rocky no where…
#parallelespotentiels #colorado #usa
Architecture deeply coloradienne
J adore cette maison extention wagon
Wagoon house
#coloradoLive
#i-voyages.net
#parallelespotentiels #archilovers #skyline #urbaninstants #urbanscape#houses
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Truck de brasserie artisanale (il y en a 200 au colorado) tournant à Estes Park : Cette villette est la Porte d entree du Parc National des Montagnes Rocheuses, le troisième plus visité du pays.
#coloradolive #trucks
Made in #estes door of #rockymountains
#parallelespotentiels #christopheriedel #usa #ontheroad
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Riedelian Composition 888 377
Circa 2023after JC
My Colorado stones… Henge.
5 pierres rouge Colorado (ce mot vient du mexicain rouge) glanées en haut de la colline où m’emmena un cheval docile. Mais allant « où il veut, comme son cavalier » (a dit de moi la reponsable du tourisme de Loveland, me voyant n’en faire qu’à ma tête durant notre journée de visite commune). Nécessté vitale en effet, comme un soleil intérieur. Mini tournesol, fleur endogène, glanée dans le jardin du ranch Sylvan Dale, près de Loveland.
Back from an evening horse, then a morning stone picking ride at that Dale ranch near LovelandCO.
J’y Cache la poudre
de l’eternel
#loveland #lovelandpass #coloradolive #parallelespotentiels #christopheriedel#sun #sunrise #sunset #flowers #trees #wilderness #eternity #live
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Prescription : 3 pierres volcaniques islandaises glanées au Blue Lagoon, site de baignade soufrée près de Reykjavik (où Iceland Air offre un stopover gratuit jusqu’à 7 jours sur la route de ses destinations USA). Flanquées de pastilles de réglisse bizarres à l’emballage topasse…
Prescription/Composition : 4 cuilleres/jour de volcan revigorant – à Planet Mars.
Blue Lagoon, Keflavíkurflugvöllur, Iceland Un site de baignade soufrée près de Reykjavik dans un décor minéral à zestes nucléaires, non ?trop de touristes, mais belle eau chaude pour tous. Le restaurant est très bien aussi : very chic, merci.
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Val Abraham, douro. Emma Bovary, incarnée par Léonor Silveira, y mit fin à ses jours (sans piscine), dans le film au titre éponyme de Manoel de Oliveira. Aujourd’hui, un assez bel hôtel a investi le bâtiment de l’ancienne Quinta (domaine) vinicole. qui appartînt jadis à une famille amie de Pierre, les Pimentel.
#film #hotel#valabraham #manoeldeoliveira #douro #riodouro#love #death #sixsensesdourovalley #gustaveflaubert #emmabovary#litterature #cinema – à Régua-Rio Douro(Douro River).
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Pariberté, j’écris ton nom
Du haut d’un pont
Depuis la belle Lurette… Depuis 45 ans, je te défile
Entre avanies, CO2, flots & flux incessants,
Fraises des bois des espoirs, liberté de des échappements, écoeurement de tes pots cumulés en un seul pot déchappement pleine bouche.
Tourbillon, billes, la vie est une tour béante
Un Echéancier scrupuleux de l’avide vide attendant tous au tournant, faisant feu de tout être.
Oui, mais toujours la promesse sibylline de quelque…
Rivage en point de mire
mirages, mi joie, mi perceuse, travaux incessants, raclements de truelle, marteaux piqueurs avariant l’oreille, démarrage simultané sur les milles rues les plus circulantes de 8 milliards de moteurs.
Une certitude, relative :
la beauté est ce qui rend le monde supportable
Nous sommes ici
A fortiori
plutøt mieux lotis
Que sur Pluton,
Non ?
Signé : Un petit ma(r)quis à particule fine
#Paris #poesie #impro #pont #decor #storytelling #narration #voir
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Bien mieux que le bouquet de tulipes géant que JeffKoons vient d’offrir de force à Paris. Qui va l’exposer sur le Parvis du Palais de Tokyo (sous toutes réserves).
Elle a été construite à une centaine d’exemplaires entre la fin des années 1960 et le début des années 1970. Sa forme distinctive dans le style des soucoupes volantes et son entrée en sas d’avion rendent cette construction très populaire chez les collectionneurs.
Sa surface habitable est de 50 m², son volume de 140 m3 est divisible pour son aménagement intérieur. Démontable et remontable en deux jours, elle est transportable et ne nécessite qu’un espace pour la poser de 3m de haut et 8m de diamètre.
Désormais unique exemplaire en France, cette Futuro a occupé de 1968 à 1972 le parvis de La Défense, le quartier d’affaires parisien, cafétéria d’un nouveau type, elle accueillait alors la clientèle du « Resto Bulle ».
Aujourd’hui propriété d’un collectionneur passionné, ce dernier est bien décide à lui offrir une retraite méritée.
La liste des vieilles litanies
Passés cinquante ans
Tous ces gens radotant
certainement jadis trépidant
Ils figent leur intérieur
Comme leur habitus
en sanctuarisant chaque détail
De leur misérable cadre de vie
Ne tolérant
Plus aucun déplacement
De détail
Sous peine d’y perdre
Ce qui leur reste d’âme
Restent toujours en toi, en moi dans toi, la ville, les fraises des bois des espoirs…
La beauté est ce qui rend la ville supportable, comme le reste du monde ?
Echeancier de l’avide vide, feu tout être
Rivages en point de mire
mirages, mi joie mi perçeuse
Une certitude, relative :
la beauté est ce qui rend le monde supportable
Nous sommes ici
A fortiori
plutøt mieux lotis
Que sur Pluton,
Non ?
Pariberté, j’écris ton nom
Du haut d’un pont
Depuis la belle Lurette…
Entre avanies, CO2, flots & flux incessants,
Fraises des bois des espoirs
Un petit maquis à particule fine
#Paris#poesie#impro#pont#decor#storytelling#narration#voir
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Fillon François : Un temps on le crut prochain fion présidentiel. Le fut-il ?
Top vintage hérault , chirachien aux canines lisses. Le Futur D’estaing de la Revolution conservatrice ? Ne manque ici que Ponpompidou !
Si lisse, durant ses 5 ans de 1er Sinistre, belle prouesse. Respectable Rastignac sarthois. Détestable heros de Twilight.
Ideal casting : vampire politique, chaussettes rouges, pull et manteau noir.
PS ragotien : on me raconte l’autre jour qu’il serait gay, vivant de fait avec son assistant parlementaire, après avoir été « formé » jeune à la pédale par son mentor, député de la Sarthe, un Teule. Pénélope et les cinq enfants sont là pour la galerie. Ma foi, grand bien lui en fasse ! Frigide barjot est furax.
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En colimaçon, la notion d’intime Y
partit en echo
Le long de moulures d’ fraîche facture
Extime rebondit, intime joua la team, rester concentré
L’on s’y pinça éveillé
(Comme disent les commentateurs sportifs)
Il semblait loin, le lycée
avec Stéphane Fromm?
Oui non, pas tant…
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Jouir de l’instentant
Sous la verrière-oeuvre
Après tant de photos
Autant de
moments qui furent
Seront
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L’Amérique des milliardaires super Zéros (au double sens du terme) aux manettes, me rappelle Reagan, en version l’Agent orange. Espérons que ce Donald de Trump Tower, aka Donald MacCrado trompe énormément, ne sera pas seulement au Pouvoir ce que KFC est au poulet fermier.
PS cuicuit : Et que nous n’hériterons pas ici de la volaille bretonne enrichie au grain de facho protestataire qui guette… Enfin, l’expression « tomber de Charybde en Scylla » prend du sens…
PS 2 : Charybde et Scylla étaient deux monstres marins de la mythologie grecque, situés de part et d’autre d’un détroit, traditionnellement identifié comme étant celui de Messine. La légende est à l’origine de l’expression tomber de Charybde en Scylla, qui signifie « aller de mal en pis ».
PS 4 : lâche ta console et va voter. Sinon, tu sauras que l’actuel était un moindre mal…
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TrumpRealityshow : Ce Donald la ?Un symptome de plus de la trumpisation Picsou de l’Occident a l’oeuvre depuis longtemps. La figure du rebelle est celle d’un UltraRich. Abattement… fiscal.
» Sa teinture est moins orange depuis quelques jours » : Signe de sa stature présidentielle (pestilencielle).
Le Magritte inconnu.
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Essai : Vie en ville, trop plein avide et vil (recrachant forcément sa splendoreur)
Au croisement Réaumur et Turbigo, on s’en souvient,le tempo est d’ordinaire de 1000 voitures-minute à petit pot vociférant. Hier soir encore, entre deux micro-péripéties urbaines comme quelque chose en moi les aime, ayant enfourché mon cyclo-destrier de 22 kilos (non sans avoir vérifié que la selle branlante ne m’empalerait pas fourbement au prochain feu rouge), je roulai jusqu’à la faille de San Andreas, le Champ de Mars par les boulevards, puis les quais…
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Le plancher transparent dans la salle de bains du bungalow sur pilotis me laissa entrevoir un bébé requin passant dans l’eau, tandis que je faisais couler un insomniaque bain de nuit. Cliché maldivien, dix ans déjà. J’allais au réveil nager nu par l’escalier, une voisine Américaine m’entraperçut…
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Vanités selfiques du jour
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@Lepape des paradis retrouvés
Mais en fait, il faut que j’aille à un truc d’impro de ma fille dans un centre d’animation perdu à crimée. Pour me taper ensuite le regard éternellement incendiaire de mon ex après. Un bonheur… celui de ma fille, oui.
Raccrochez : c’est une erreur !
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Epicure de rappel stoïcienne :
le coeur du système fond,
l’apocalypse se voudrait joyeuse comme Calypso,
on ferait comme si de tout rien n’était, avec nos postures socio-professionnelles attitrées. Faute de mieux.
Faute d’avoir récusé. Mais ne serait-il pas encore temps ? Si !
Sauf si on était devenu la machine molle, le rouage-agent de production prenant de l’âge en attendant ses points retraite insuffisants.
Petite joie auto-satisfaite auto immunitaire par petites joies interposées, renoncement fétide. Par jouissance tiédasse.
Par désappointement pour ceux ayant toujours une pointeuse du quotidien.
Par misère ou modeste fortune replète
de small business middle classe
résigné au luxe relatif mais certain de ses prochaines vacances payées, on dit des congés
en guise d’horizon visière
5 milliards de gens n’en auront jamais, ils sont hors du système des tous petits nantis que nous sommes. Enfin, pas moi. Les sales ariés. Pardon, les salariés.
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Mais pourquoi nos voisins vietnamiens
envahiraient-ils nos grasses rizières ?
se demandait le roi cambodgien déchu
Norodom Sihanouk en partant vers Ko Kong, Ko Rong et Ko Reong Saemlen, en face de Sihanoukville.
Bah, j’y fus aussi en janvier d’une année et en décembre d’une autre. Ce seraient de longues soirées, la nuit se couchant tôt, les moustiques tard et tartare… Il faudra y écrire mon absence d’oeuvre.
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« Je sens brûler en moi un désir sauvage d’éprouver des sentiments intenses, des sensations ; une rage contre cette existence en demi-teinte, plate, uniforme et stérile ; une envie furieuse de détruire quelque chose, un grand magasin, par exemple, une cathédrale, ou moi-même ; une envie de commettre des actes absurdes et téméraires, d’arracher leur perruque à quelques idoles vénérées, de munir deux ou trois écoliers rebelles du billet tellement désiré qui leur permettrait de partir pour Hambourg, de séduire une petite jeune fille ou de tordre le cou à quelques représentants de l’ordre bourgeois. Car rien ne m’inspire un sentiment plus vif de haine, d’horreur et d’exécration que ce contentement, cette bonne santé, ce bien-être, cet optimisme irréprochable du bourgeois, cette volonté de faire prospérer généreusement le médiocre, le normal, le passable. «
Hermann Hesse, Steppenwolfe (le loup des steppes)
Via Eros En Feu
PS : à défaut, maybe une bonne bière au crépuscule tropical maritime d’un jour à 34°, flanquée d’un peu de relecture dégustative de « L’eau et les rêves » de Gaston Bachelard, après une marche de 4 heures, le fera aussi…
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Du duo mix Alan Vega et Christophe pure juice avec un zeste de sucrine christophienne. Je les avais vus jouer ensemble brièvement à la Machine du Moulin Rouge en 2011 (avec Pascal)… Avant qu’Alan Vega se coupe un doigt sur une corde de guitare et se fasse remplacer par son fils, musicien aussi, l’on s’en doute..
PS : Christophe faisait la première partie du concert d’Alan Vega ce soir-là. Daniel Darc, entraperçu, était backstage, ombre avant les ombres, un an avant son décollage… Il fut photographié par DomGarcia, qui me vendit trois fois rien pour mon anniversaire, croisé par hasard dans la rue 8 mois plus tard, l’une de ses épreuves. Que j’ai chez moi, sur quelque panneau photo à l’entrée de ma pièce-cuisine (logement de mon ère post bobo de couple à 4 pièces à Pyrénées pendant 16 ans). La photo de Daniel est engoncé dans une brochette de photos de selfies nocturnes fantoches. Histoire de continuer à s’aimer, on peut revendiquer l’image de soi. A petites doses.
Vega est parti, la même année que Cohen, auquel je voulais donner le Nobel de Dylan, Christophe est toujours là
Demeurer étranger à soi-même pour esquiver *l’habitude d’être soi-même.
*(tromper)
Merci Dominique. J’adore les mythologies et Barthes, qui a fini écrasé rue des écoles par un camion de teinturier.
Depuis des années,
L’un de mes projets d’artiste (bartlebyien) sans œuvre consistait à écrire les mythologies de notre air du temps.
Mais je suis si velléitaire, étant une bête pessimiste ne croyant guère à la postérité…
Merci Dominique, pour ce partage des mythologies barthiennes, c’était une belle inspiréalisation.
Le thème de l’acteur souligne aussi à quel point nous sommes des poseurs. Parfois. Prendre la pose, la déclencher… 🙂
Ma vie ne profiterait jamais qu’à elle même
C’était le plus délicieux du problème
Qu’une fois passée
Ne subsiste point
Qu’ un final
Irrecevable
au commun
des fourmis
Existentielles
PS : échangé au métro Pyrénées avec Val le sorteur un echantillon de la rentrée littéraire 2015
( 11 livres)
Contre un rosé surdosė en liqueur d’ expédition
( 26 grammes de sucre, beurk 🙂
Ma quė horor !
Évidemment aucun de mes contemporains
Infatué de son misère à blue nombril oublié
Ne likera un tel statut
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quel constat désespéré et définitif…. Mais si mais si, il se trouve une contemporaine prête à liker, mais avoir le nombril bleu est-il indispensable pour ce faire? PS qu’est qu’ UN misère, j’allais revêtir ma robe de bure et prendre mon scapulaire, mai je ne suis pas sûre que ce soit le costume ah hoc, même si vous n’ignorez pas que « des formes gracieuses se révélaient sous la bure épaisse de la robe » ? (Maurice Barrès « la colline inspirée »)
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Je rebondis ainsi sur votre chute :
http://culturebox.francetvinfo.fr/livres/essais-documents/une-lettre-de-proust-evoquant-les-ebats-de-ses-voisins-mise-aux-encheres-demain-255421
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