La triploïde ? Y aurait-il du rififi sur le front de l’huître ? se demande t’on en revenant sur le viaduc, ellipse de béton de 1966, vers la gare de Surgères (un beurre AOC) via Rochefort ? Il y a quinze ans, l’institut scientifique de tutelle, l’Ifremer, a inventé une « huître quatre saisons », la triploïde, qui relève du croisement pour les uns, de l’Ogm pour les autres. N’ayant pas de laitance, elle a l’avantage d’être consommable toute l’année. Très bonne à déguster. Mais, une fois morte, elle produit une bactérie néfaste pour les huîtres naturelles. Ce que dénoncent certains ostréiculteurs, on les comprend. Oh, marketing multiforme et tentaculaire, étouffant roi de la planète, quelle part laisses-tu à la liberté de la Nature ?
D’ailleurs, Oléron aurait forme d’huître rustique
On aurait encore dans les yeux le Fort Louvois, petit frère de Fort Boyard qu’on vient de visiter à bord d’un chaland d’ostréiculteur.
L’îlot du Fort Louvois comme échoué le long du viaduc…
Vauban sur océan, cabanes d’artisans en lumière
Oléron est siège d’ouvrages fortifiés Vauban, beaux fantômes ne défendant plus rien, ajoutant une touche de charme à cette île jadis très convoitée par les Anglais et des pirates locaux, tels Lazor que fait revivre le comédien Bilout.
3 fois par an, les ostréiculteurs du bassin Marennes-Oléron tapent sur leurs poches d’huîtres pour les formater, leur donner une allure plus régulière. On pensait que la nature seule s’en chargeait. Ici aussi, les hommes l’y aident, come on l’explique à la Cité de l’huître. D’autres huîtres sont vertes, ce sont ces « fines de claire » A la coloration particulière car elles se nourrissent de navicule bleue.
Elles ont d’abord poussé en mer, puis ont été déplacées dans des bassins d’affinage : ce sont les claires. Qui mangent donc une algue microscopique, qui leur donne cette teinte verte qui surprend en première vision, et bien connue des gourmets.
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Les huîtres du Bassin Marenne Oléron sont les seules françaises à avoir obtenu le Label rouge.
Il y a aussi des producteurs d’huitre bio. Sophie Montauzier (au Château d’Oléron), ostréicultrice « bio, « pacse » les crevettes impériales avec les huîtres en respect total avec l’environnement et le cycle naturel des espèces. Salicorne et palourdes sont aussi deux ressources exploitées artisanalement par le couple. Le programme de mon voyage très complet, car concocté par une communicante habitante de l’île, Marie-Françoise Sabelico, est en fin de post : consultez-le pour y pêcher des idées !
Mon article paru dans Où ? Magazine été 2015
Marais et chenaux. En cliché « vu du ciel », comme en prend Arthus Bertrand, la plus vaste des îles après la Corse (35 km de longueur, 12 km dans sa plus grande largeur, 34 mètres à son point culminant, la dune de Saint Trojan) a forme d’huitre. Irrégulière, rustique. Ce pourrait être une « pousse de claire », la plus charnue, la Rolls des huitres d’ici : à peine 250 des 20 000 tonnes affinées dans le Bassin de Marennes. Ou une Gillardeau, du nom d’un producteur qui a su les placer à de très belles Tables du monde. Ses huitres, parce que copiées, sont désormais gravées d’un G. La machine lui a coûté une fortune, parait-il.
La douceur de son climat et la beauté de ses plages ont attiré depuis 1870 quantité de touristes. Toujours nombreux, ceux-ci sont aujourd’hui conquis par ses villages aux maisons basses, ses paysages dégagés parcourus par de pittoresques petites routes, ses vastes forêts, ses plages de sable fin, ses petits ports, marais et chenaux, devenus le domaine des ostréiculteurs.
Oléron compte bien des cordons dunaires, des mimosas (fêtés en février par 20 000 personnes) refleurissant à la fin de l’été et des roses trémières. 90 km de côtes et 12 % de forêts où l’on entend la nuit sur les sentes des sangliers, raconte une habitante : elle a fait le tour de l’île à pied en 22h 30 et 3 pauses repas.
Visites théâtralisées. A Château-Oléron, la Citadelle : un autre ouvrage Vauban superbe, qu’on découvre l’été scénarisé par un ancien ostréiculteur, scénariste de BD et comédien, Philippe Couteau, dit Biloute, y apparaît en costume de Vauban. Puis, des découvertes artistiques nous attendent en contrebas du Château. D’abord au Fortin Pâté, occupé par un sculpteur chaudronnier très léonardien, amoureux des variations sur les sphères métalliques. Deux de ses sculptures, des moustiques hauts perchés, trônent sur le toit de ce beau fortin. A côté, 31 pimpantes cabanes colorées occupées par des artisans recèlent de belles découvertes et ateliers possibles. Comme celles d’une enlumineuse aux yeux d’un bleu lumineux quand elle en parle, elle est à la N° 22. Carole, verrière expliquant l’art du vitrail, Tiffany ou français, est à la 15. On peut faire des stages entrecoupés de promenades.
Embruns et en lumières.
Il y a 100 ans, l’île devint prisée par la bourgeoisie en villégiature, comme en témoignent les villas Belle Epoque de Saint-Trojan-Les-Bains. On y inventa le spa, c’est-à-dire des bains d’eau de mer chaude pour distraire ces dames les jours de mauvais temps. Des maris en profitaient pour aller à la bien nommée « Villa La Bagatelle » en compagnie de demoiselles de Rochefort…
On file ensuite vers Saint-Pierre Loti.
L’écrivain orientaliste Pierre Loti venait y voir ses tantes vivant chichement dans une petite maison, devant laquelle on pass. Il demanda à y être enterré, près du palmier et de l’aloès qu’il avait planté « cercueil ouvert côté pieds pour ménager le contact avec la terre ». Un vrai personnage de roman de jules Verne, ce Loti, parlant 10 langues. Petit de taille, il fait beaucoup de sport pour compenser, nous apprend le guide Patrice Sainperse. De sorte que l’Académie française, un jour qu’il y faisait un discours torse bombé, crut qu’il portait un corset. Il envoya une photo de lui torse nu (façon Poutine) pour les détromper… Il donnait des fêtes érudites costumées dans sa maison de Rochefort, au salon aussi fantasque que sa chambre était monacale. Maison en travaux pour dix ans. Rochefort a aussi perdu le 18 avril son autre perle : le navire L’Hermione, construit ici façon XVIIIe pendant 17 ans. Parti de la Corderie Royale le en avril en vedette américaine, il en reviendra fin août.
La Citadelle de Brouage
400 000 visiteurs par an viennent ici. Encore un ouvrage Vauban Louis XIII dont les bastions et les échauguettes ne guettent plus les bateaux : Et pour cause, la cité (dont le plan-relief, qu’on examine au musée de Brouage, vous a des allures de villes à canaux, telle Amsterdam) s’est envasée. Ce qui la fit décliner il y a 200 ans. Seul subsiste un chenal entretenu par le département, s’étirant vers la mer à 2, 5 kilomètres et les claires des ostréiculteurs.
Du charme, un beau fantôme : Brouage dut se résigner à n’être plus que poudrière et halle à vivres de l’Arsenal de Rochefort.
Elle est aujourd’hui fief d’artisans d’art superbement installés dans d’autres cabanes, comme cette femme relieuse et « médecin du livre », c’est-à-dire restauratrice, signant de belles sculptures livresques pleines d’alphabets aux runes mystérieuses. Il faut absolument manger médiéval à l’auberge Saint-Denis. Son chef, Denis s’inspire de recettes du fameux Viandier de Taillevent, le cuisinier de Charles V. Par exemple des « cailles au gibet » pendues à un fil, délicieusement farcies. En allusion à une tradition datant, elle, de la Révolution. L’été, il y aura des repas en costumes d’époque : ils seront fournis avec les victuailles. Décidément, le tourisme devient une construction d’imaginaire territorial faisant feu de tout bois, naturel et culturel, on dira historique.
On a dîné et dormi aux « Jardins d’Aliénor », ancien relais de poste niché sous la citadelle Vauban. 8 chambres de charme meublées avec goût et variantes thématiques par Madame. Un restaurant où le Chef Marc le Reun compose des menus raffinés, dignes d’un étoilé, à base d’océan et de circuit court. Bref, un beau duo.
Autre table distinguée et surtout chaleureuse, celle du « Relais des Salines » de René Jammes, une cabane verte au bout des quais à Grand Village. Franc-parler, bon manger et gouaille locale garantis !
Office de tourisme
www.ile-oleron-marennes.com
Les artisans : cabanes-couleurs.fr
Où Dormir et manger
www.lesjardinsdalienor.com
Nous sommes notamment passés voir, parmi ses vitraux et livres enluminés,
la merveilleuse Carole Tribot, dentelière de lumière
à la cabane N° 15
« Pour faire un vitrail il faut une cuillère de verre, un zeste de passion, un soupçon de patience et une pincée de rêve.
Alors la magie opère, s’ouvre la porte des myriades de merveilleuses possibilités. Je suis dentellière de lumière, j’aime le geste juste,
l’instant subtil et recherché, lorsque mes mains et le verre ne font qu’un. »
Atelier de verre
Cabane n°15 – Avenue du Port
17480 Le Château d’Oléron
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Le fascicule « les crabes des pertuis charentais »
Il présente les 18 espèces de crabes qui peuplent notre côte. Les plus connus, bien sûr, sont l’étrille et le tourteau. On apprend aussi que celui que l’on nomme habituellement « crabe vert » devient rouge en vieillissant et que son véritable nom est le crabe enragé. Que les « buettes » sont de petits crabes carrés très communs, marbrés de noir et de vert ou encore que le « bras de fer », avec ses pinces robustes, peut prendre des couleurs très originales, du violet vif au camouflage léopard, en passant par des formes bicolores magnifiques.
Les araignées de mer ne sont pas oubliées, tout comme les crabes minuscules, telles que le pinnothère, que tout le monde connaît d’ailleurs : c’est l’espèce qui habite dans les moules. L’ouvrage a été réalisé en partenariat avec l’Ecole de la mer, association rochelaise présidée par Isabelle Autissier. Disponible en librairies et offices de tourisme, 3 €.
Comme l’explique Jacques Pigeot, président du CPIE, ce document manquait fortement : « Depuis près de dix ans que nous travaillons sur la préservation des estrans, nous avons eu envie de montrer toute leur richesse. Les crabes sont des animaux emblématiques, faciles à observer, mais jusqu’à présent aucun outil pratique ne permettait de s’y intéresser de plus près ». Il fallait donc soit apporter un livre sur le terrain, soit se fier à des fiches simplifiées souvent pleines de lacunes et d’espèces que l’on ne trouve pas ici. « Le document que nous publions est complet et adapté à la région », poursuit-il. Il est plastifié, richement illustré, ce qui facilite la découverte sur le terrain ».
L’étude de l’IODDE a dressé un profil type du pêcheur à pied:
60% des pêcheurs à pied sont des hommes
86% de ceux qui pratiquent la pêche à pied à Oléron en ignorent les règles
Sur les 45000 personnes qui pratiquent la pêche a pied chaque année sur le bassin de marennes, seuls 8% des pêcheurs sont originaires d’oléron.
92% des pêcheurs exercent donc la pêche à pied en tant qu’activité touristique.
Chaque année, les adeptes de la pêche à pied récoltent sur le bassin de Marennes Oléron environ 35 tonnes d’étrilles (soit 400.000 unités), 160 tonnes de palourdes,11 a 17 tonnes de flions et 40 tonnes de coques (‘la pêche au coque étant toutefois très variable d’année en années).
A cela s’ajoute les récoltes d’huîtres, bigorneaux, patelles, (…) et araignées de mer.
L’étude menée par l’IODE a révélé six problèmes majeurs qui mettent en péril le milieu naturel de l’estran (problèmes aggravés par le tourisme de masse) :
Le mauvais respect des tailles réglementaires ( ex: 55% des palourdes récoltées ne sont pas aux normes)
Le gaspillage des espèces pêchées (surplus, mauvaise conservation, certains pêcheurs récoltent plus de coquillages qu’ils n’en consommeront réellement … )
La destruction physique des milieux : le labourage des sols et le retournement des roches ont de réelles conséquences sur le milieu naturel et ses espèces
Le non respect des concessions : certains individus outrepassent leur droit et pratiquent la pêche à pied dans les parc à huîtres, les écluses à poissons ou dans d’autres propriétés privées…
Le risque sanitaire: le risque associé à la marée montante, qui peut surprendre nombre de pêcheurs non expérimentés.
La perte patrimoniale. Le transfert du savoir faire, et des coutumes de la pêche à pied semble se perdre peu à peu, de génération en génération. Il est ressort alors des habitudes de pêche moins respectueuses de l’estran.
Le retournement des roches et le gaspillage restent, de loin, les deux plus grands ennemis de l’estran. D’année en années, le retournement des roches entraine une diminution de la quantité et de la qualité des espèces. Plus les roches sont retournées, moins les espèces se renouvellent dans de bonnes conditions.. Dégradation des vasières, pelouse sous marine saccagée, les pratiquent des « retourneurs » de roche nuisent fortement au maintien et respect de l’écosystème.
Les communautés religieuses
Implantées très tôt à Saint Georges, au Château- Oléron ou à Saint Denis, elles y ont développé vignobles et salines qui devaient faire la richesse de l’île. Dès le 12ème siècle en effet, l’île vend son sel à l’Angleterre et aux pays du Nord. Ce dont témoigne encore la citadelle de Brouage, encore un ouvrage Vauban louis XIII dont les bastions et les échauguettes ne guettent plus les bateaux partants. Et pour cause, la cité, (dont le plan-relief, qu’on examine au musée de Brouage, vous a des allures de villes à canaux, telle Amsterdam), s’est envasée. Ce qui la fit décliner il y a 200 ans. L’expérience du commerce permit aux hommes de loi de concevoir le premier code maritime européen : les Rôles d’Oléron, que complète le Coutumier d’Oléron.
Mon Programme complet pour pêche aux idées :
LE PROGRAMME
15h45/16h00 : L’aventure ostréicole s’offre à vous. Rencontre avec Aline DUBUIS, directrice de la Cité de L’huître (chenal de la Cayenne)
Départ à vélo le long du chemin des Claires. Découverte de la Cabane des Claires et initiation à la cuisine de l’huître.
17H15 : A bicyclette, nous pédalerons en douceur de la Cité de l’Huître jusqu’au bout du chenal de la Cayenne, jalonné de ces typiques cabanes colorées ostréicoles. Nous irons à la rencontre de talents artistiques originaux pour observer que l’expression artisanale puise son inspiration du territoire.
La Métallique et IF LAB : Rencontres avec 2 artistes étonnants.
Départ à 18h30 vers l’Ile Oléron.
19h00 : Dépose des bagages à la boutique-hôtel gastronomique Les Jardins d’Aliénor.
Jeu du hasard pour l’attribution des chambres et SURPRISE ….découverte des produits de la Cotinière.
19H45 : apéritif/rencontre avec Laëtitia LE REUN, propriétaire de cette demeure de charme (les Jardins d’Aliénor)
20H15 : Dîner aux Jardins d’Aliénor pour des surprises gustatives inventives, légères, raffinées sous l’impulsion du Chef Marc LE REUN, qui fait vraiment les choses bien.
Samedi 28 mars :
9H00 : Découverte originale …de la citadelle du Château d’Oléron avec BILOUT, un humoriste talentueux costumé en Vauban quand ce n’est pas en Lazor le pirate. Ancien ostréiculteur bédéiste aussi à ses heures.
10h15 : Rencontre avec une ostréicultrice « bio « Sophie Montauzier (au Château d’Oléron) qui pacse les crevettes impériales avec les huîtres en respect total avec l’environnement et le cycle naturel des espèces. Salicorne et palourdes sont aussi deux ressources exploitées artisanalement par le couple.
Dans sa cabane, les PRODUITS MOPS trouvent refuge et font recette. Nous pourrons goûter ces étonnantes galettes à la salicorne. Approuvées par le palais de votre serviteur !
10h45-11h45 : Flânerie pédestre le long de la Citadelle du Château et dans les méandres de cette multitude de cabanes colorées d’artistes blotties les unes contre les autres, autour du port du CHATEAU D’OLÉRON.
Découverte de quelques cabanes d’artistes
Fort Paté : SESTYLAND (sculptures). Matériaux de prédilection pour Lionel SESTIAA, (docteur en chimie), les métaux. Il combine chaudronnerie, métallerie, fonderie, forge, ajustages et patines pour créer des formes au gré de ses envies.
Cabane 6 : A FLEUR DE PEAUX (bijoux, accessoires, objets de cuir) Jennifer DESNOYER travaille le cuir pour que chaque création soit unique. Odeur, grain sensible, toucher délicat, couleurs… En entrant dans l’univers de cet atelier, vos sens seront séduits. Chaque création est originale, réalisée et cousue à la main… Taillé, martelé, cousu, brodé… Le cuir y est mis dans tous ses états ! Les peaux habillent la vôtre, dessinent votre humeur… Les teintes se déclinent, surprennent, miroirs des cabanes colorées aux alentours.
12H30 : Pique-Nique concocté par les Pêcheries de La Cotinière – plage de Gatseau/ou Vert Bois selon la météo – Patrice SAINPERSE, guide du patrimoine sera présent.
Stéphane LEMIEUX, créateur d’une délicieuse « limonade d’Oléron » nous permettra de gouter cette pétillante boisson, nature ou parfumée pêche, pas mal du tout. Ainsi qu’un nouveau cola régionaliste… Il y en aura bientôt autant que de régions, des colas ? L’Auvergne n’a t’elle pas encore le sien ? En tout cas, c’est bien.
14H/15H : ESCAPADE À PIED en compagnie du guide Patrice SAINPERSE pour découvrir l’histoire et l’architecture singulière des Villas Belle époque de SAINT TROJAN LES BAINS. superbe historique, le guide est dispo, le demander à l’Office !
15h15 l’hôtel Le Vert Bois.
15H45 : départ pour LA COTINIERE
16H – 17H : Découverte de l’estran, des écluses à poissons, et des actions conduites par Iodde pour une pêche à pied durable, à La Cotinière, charmant port de pêche artisanale. Basse mer 17h19 // coef 38 –
17H15/17H35 : Rencontre avec une femme hors du commun
DELPHINE DUPUIS au port de la Cotinière : mareyeuse et initiatrice de la première conserverie de l’Ile d’Oléron : LA LUMINEUSE. Très bons produits, come La Quiberonnaise, son concurrent !
Pour une dame spécialisée plantes : 30 MINUTES IN SITU PLANTES DUNAIRES
Transfert vers le cœur de l’ile : ST PIERRE D’OLERON
17h45 -18h15 : Sur les pas de Pierre Loti avec Patrice SAINPERSE, guide du patrimoine
Buste de Loti, Maison des Aieules
18h30 -19h30 : Tout savoir sur le métier de viticulteur bio pour le Pineau et les petits vins d’ici : Rencontre avec Pascal Favre + dégustation de Pineau.
Retour à l’hôtel VERT BOIS vers 20H
20h30 : Dîner au Relais des Salines à PETIT VILLAGE dans une ancienne cabane ostréicole
Dimanche 29 mars :
Départ de l’hotel 8H45
9h30 : visite de Fort Louvois. Départ depuis le port de Bourcefranc en bateau pour rejoindre le Fort. Visite commentée par Sixtine NEYRAND, responsable du site.
11h : Découverte d’un métier hors du commun : médecin du livre à Brouage. Anne Bouyer Relieur 06.66.68.79.38 à Hiers-Brouage – Journée des métiers d’art.
12h30 : Esprit médiéval pour notre repas à Brouage à L’auberge St Denis
14h00 : Visite commentée de Brouage
14h30 : Démonstration d’un maquettiste sur le travail d’un plan en relief dans la Halle aux vivres . Découverte de la tonnellerie.
Départ de Brouage à 15h45
16H : départ pour le Novotel Thalassa à la découverte de la machine quantique pour deux dames spécialisées SPa…