Edith, es-tu là, piaffes-tu encore ?
Elle était née en 1915. Cent ans plus tard, acceptez ce modeste et juteux bouquet de micro trottoirs, tissés de souvenirs intimes de visiteurs de l’Exposition de la Grande Edith à la Bibliothèque Nationale de France à Paris. Mon article est paru dans « Le Français dans le monde » du réseau des enseignants francophones.
Richement illustré, n’est-il point ?
Et en prime, un parcours parisien ligne par ligne (de métro, Miiii Lord) sur ses pas permettra de mieux la rappeler à nous… Assez d’esbroufe en chevelure de temps !
Edith, y es tu ?
Pince-mi, pince-moi, que reste t’-il de nous, de nos désamours de hasard et autres fugues de raison flûtée ?
Ma maman l’aimait tant : elle se ressemblent toujours, Edith piaffe encore chez elle en emblème, à coté du médaillon de sa propre maman, Maria…
« L’éternité de l’amour (qui lui était chair textuelle de prédilection) c’est long. Surtout vers la fin. » Faustus Chris Riedel, circa 2551 après JCPas
Sur la ligne 3 ou la 2, celle des pommes Dauphines confites vers la fin ? Voyons voir ça sans plus tarder…
Rien à voir, sauf un autre souvenir concernant Édith Piaf.
Drôle de coïncidence…
Cocteau a eu le temps de recevoir un télégramme annonçant la mort de la chanteuse, avant d’être terrassé a son tour le soir du même jour, pendant une partie de cartes, je crois… Du côté de Mougins ou des baux de Provence.
Piaf, elle, n’est pas vraiment morte à Grasse, comme officiellement dit, mais dans une maison proche, elle aurait été ramenée à Grasse après, post mortem…