Mes petits voyageurs tgvėens de décembre janvier étaient de bonne humeur, comme ceux du numéro de février à venir. Il suffit qu’il fasse beau sur leurs têtes ce jour là…
Easy going parfois, laborieux d’autres fois, il faut avoir… la foi !
De plus en plus de gens se souviennent de cette rubrique « Où vas tu ? » vue en fin de wagon, ou plutôt en fin de chemin de fer du ferroviaire TGV magazine…
Mes portraits textuels sont souvent coupés, réduits de 4 à deux lignes : il ne faudrait pas faire trop long, l’image prime, c’est la règle crissante, c’est ainsi, question de maquette….
Après avoir été de moi un temps les photos sont de John Paciullo, plus léchées, plus cohérentes en matière de fond, plus pro.
Des facilités contestables dans le « casting » effectué aussi : on est dans une logique un peu pubarde que je déplore. Mais j’aime tant des gens les histoires entendues que la pilule passe…
Mon idée tgv : Je voudrais en imaginaire accélérer, pour un temps réversible, me fondre sur les rails du record de vitesse à 507 km/h jusqu’en lisière de moi… Se perdre pour lieux se retrouver à bon port, en guise de salut (pas pu résister):
Et voici-dessous des images de votre serviteur, plus spontanées, techniquement nulles, comme le dirent des experts de l’image magazine zine zine bien lèchée et homogène :
Ci-contre, en voiture bar, une frère et un soeur Delataille, du groupe bordelais Calame devenus amis lointains…
Et voici une série de voyageurs pris pour les 75 ans de la SNCF évoquant, eux, leur première fois en train, en général :