Le capitalisme, termite court termiste, est par essence punk. L’homme-capitalisme est une espèce punk constructive et hâtive, un autodestructeur : Détruire, dit-il ? Non, ce n’est pas positif. Mais Destroy, fait-il ! La destinée de l’homme était donc entièrement contenue dans la double promesse marketing de l’esthétique punk : Destroy/Not Dead. Si l’iconographie du punk, muséographiée au début du vingt-et-unième siècle à la Cité de la petite musique humaine de la Villette à Paris, fut un mouvement publicitaire de plus, ce qui en nous en tant qu’espèce ne mourra jamais, Zombie/Not Dead, relève bel et bien d’un punk consumériste. Où toutes les spéculations sont possibles.
Punk marketing not dead/humanité Dead- no Head
Pas de tête. Le-capitalisme est depuis sa Préhistoire un punk certes constructif, mais avant tout autodestructeur : aussi longtemps qu’il durera, il détruira tout sur son passage anthropo-centré et diablement pesticide : des papillons aux pauvres, en passant par les abeilles et les boucs émissaires du moment (juifs, roms, étrangers en packs coulant, prix cassés sur les excès de production de l’entreprise-humanité) rejetés du portefeuille. Tête mise à prix, tête sans prix.
Car en termes de machinerie de production d’humanité, notre engeance est bel et bien « Destroy for ever ». Eut-elle jamais toute sa tête ? J’ai du admettre, quoi qu’il m’en coûte de saborder la foi en nous, qu’il sera tout sauf durable, l’homme. Car étant mortel, l’actionnaire qui nous tient lieu de pauvre dieu ne se projette qu’à 50 ans – et encore. Donc, se contrefiche, ou plutôt n’a cure de son prochain. Peu lui importe qu’il soit rayé des fichiers, le futur. Seul compte le bénéfice court terme.
Prophétie du jour (selon arrivage du marché) : La destinée de l’homme reste entière, était toute entière dans la double promesse marketing de l’esthétique punk : Destroy/Not Dead. Avec de vains morceaux dedans.
- Pri
se de tête/de contrôle
Le capitalisme, termite court termiste, est par essence punk, menant le monde à sa perte malgré les illusions de progrès. D’ici 25 000 ou 2500 ou 250 ans, seuls les très riches, qui seront encapsulés dans leur luxe quelque part dans l’espace, les cafards et les scorpions s’en sortiront. Ce qui revient au même. Humapunk for ever est une exposition planétaire n’est pas temporaire, mais définitive. il faut être bien bisounours positif pour croire espérer le contraire. Alors, Carpé diem, hémisphère Nord ! Carpettes que nous sommes devant les puissants en expansion et les riches de plus de plus triches. En résumé :
Damn’ that Fausty man ! à Savoir cet homme faustien qui conclut un pacte en CDI avec les diables du capitalisme sans fin, il (s)est condamné.
Eclatons-nous comme dans une publicité pour la fête positive au Carrefour Drive urbain de nos rêves trépanés ! Espèrons, tant qu’on y est, à l’image des chercheurs du CEA (Commissariat de l’Energie Atomique) de la seconde partie du vingtième siècle, qu’on puisse faire confiance au génie humain pour recycler les déchets nucléaires de nos consciences méphistophéliques.
Ce si étant posé, Veuillez accepter, frères humains, ce là, cette note de conclusion positive. Recréons d’autres rêves sans DLC, ni obsolescence programmée, des utopies collectives tant qu’il en est encore temps… Ou bien persistons à être des rascals glacés se reproduisant ad libitum (for ever and never) en copié/collé, au détriment de toute autre espèce. Faut-il rappeller que le mot anglais punk signifiait petite frappe ? A grosse puissance de frappe ?
Nonobstant notre finitude, il y a bel et bien de l’infini en nous : notre capacité de reproduction manufacturière/mise au pilon/destruction. Sans oublier les énergies/utopies renouvelables, comme l’amour. Mais comment le stocker ? Il s’auto-détruit si vite, hors de la sphère de la charité chrétienne.
Singing in the rain : « Ne le laisse pas tomber, tu sais il est si fragile… » dans sa force de destruction/reconstruction
L’homme trouvera/l’homme a trouvé
Pillons les stocks, tradons l’être par algorythme financier .
L’homme sera illusion bio ou ne sera plus. Sur fond de publicité pour des séjours atterrissant en vue aérienne sur les aux Maldives. L’homme est une espèce à éthique dégriffée qui ne se porta pas si mal. Et ne supportait pas les autres, hors castes et clans d’agrégation.
Ps : Invitation pour deux personnes à imprimer en haut de cette page.
Petite pensée en courant au soleil : Fermer le soleil en fermant les yeux, je peux. Le soleil, lui, n’a pas besoin de fermer les yeux pour me fermer. Tant pis temps mieux… 1 2 3 Soleil !
Tant qu’il y aura des pis
Tant qu’il y aura des poires, il y aura de l’espoir.
la destinée de l’homme était entièrement contenue dans la double promesse marketing de l’esthétique punk à grosses moustaches nietzschéenne arachnéenne, arrache-néant, nez en moins : Not Dead/Destroy
Que fait l’entreprise-humanité de ses excès de production ? Elle les disperse sur la mer à prix humain sacrifiè. Et la navé va…
Et les navets de l’industrie sortiront sans fin…
L’humain ? Copié/collé, obsolescence programmée. Et la navé va…
L’industrie sans fin…
Dire que si 1 % ne détenait pas toutes les richesses, on pourrait nourrrir tout le monde chez Mac Crado – ou Man Bio – pendant 10 000 ans. Alors, le bonheur national brut, un collectif utopique ?
Bon, c’est pas le tout, mais je dois prendre le mais trop. Une fois dehors, puis en souterrain dedans, au milieu de mes semblables anonymes, me tenir fermé comme une moule ou une coquille Saint… Puis, une fois revenu à mon amour de maison, nous réparer des cèpes aux mollusques de saison.
Humanité, terrain miné. toujours se reproduisant. Les mêmes erreurs par copié-collé.
Mi damné, don miné, mais bon à mitonner. Et toujours à m’étonner qu’il y ait toujours des coquilles Saint-Jacques et des vivants pour les manger. M’étonner s gens vieillissants qui ne pensent plus qu’à ranger. Qu’il ne faut pas déranger. qui finiront par se ranger eux-même dans une petite boîte ?
Comment déprogrammer l’obsolescence de l’humanité ? Poser la question fait déjà un bien fou. Digne d’un spa éthique aux allégations de bénéfice santé incontrôlables. Mais si agréables…
Et qui s’en soucie, de nous ?
Le monde est une exposition temporaire pour collectionneurs attentifs au marché spéculatif.
Allons fêter ça au café de la huitième planète à droite, le Sans souci.
Prophétie du jour (selon arrivage du marché) : La destinée de l’homme reste entière, était toute entière dans la double promesse marketing de l’esthétique punk : Destroy/Not Dead. Avec de vains morceaux dedans.
Not dead destroy : n’est pas mort en détruisant. ni détruit, à contresens interdit.