Un comm’ando « antiGachelelectricicitécolo »  s’attaque aux néons d’la Défense pour allumer son plan de com’ ?  Toujours mieux que rien, mais quel vaste programme que de supprimer le superflu et les pollutions lumineuses nocturnes…

« Rallumer consomme encore plus d’électricité, mais si c’est pour la presse… »

Je vote pour l’acte II : Bientôt sabotage, non plus du seul giga-sapin commercial des tours du Parvis de La Défense, mais des sapins de l’ensemble du vaste continent SupermarchédesproduitsdeNoël. Légende : Le commando anti néons des jeunes écologistes… (source et suite sur  Streetpress)

Chiche pour l’ extinction des feux de Noë ? Ceux révérés par nos petits enfants qui n’ont aucun autre chamanisme à se mettre sous l’esprit que la prochaine console de jeux ?

En ces temps où il faudrait vivre chichement, décroissant, j’applaudirai à deux mains, en misérable spectateur spectaculaire que je suis. Qui, quand il est d’humeur, se métamorphose quand même en Don Quixote des pots d’échappement moulinants. Forçant les conducteurs de voitures de passage stationnant près de chez lui à couper leur moteur à l’arrêt, avec force gesticulations, mimiques méprisantes certainement assez comiques… Mais au moins ai-je l’impression d’agir pour la planète, quitte à m’agiter en vain.  ils comprennent fort peu souvent, et obtempèrent encore moins, les noms d’oiseaux ne tardant pas. Le conducteur humain est souvent une espèce à bulbe rachidien. Il paraît que couper son moteur représente une économie de pollution si l’on reste plus de deux minutes. Sinon, rallumer pollue plus que l’extinction à moins de deux minutes, m’avait confié à ma demande une scientifique experte du GIEC.

Mais revenons à l’extinction, non point de l’humaine engeance, mais des feux des vaines pollutions lumineuses urbaines. Je dis :

Just do it !

Comme le proclame la baseline de la marque mondiale de chaussures de sports assortie aux Jean Levice, dont le catalogue jeuniste nous tient lieu d’éthique mondiale…