Mûres mûres ramassées au pied des éoliennes dernière génération à Sijean et thym stocké pour l’arrière saison.
Fenouil sauvage, lampions du samedi précédent, un 17 août de fête au village. Traces accumulées du petit infini qu’est une vie humaine. Cette succession de jours et de nuits par dizaine de milliers. Soyons larges : quand on aime, on ne compte plus !
50 étés et printemps valent 50 000 Supernovae au barème du vivant.
Au pied du figuier prendre son temps.
Et même la peraînėe compensant par des caprices agaçants
pour exister entre deux maillons accepter.
Elle coud de très jolies robes pour broder son vivant
d’inflexions intangibles.