Du liège a perte de vue dans la forêt aride de l’Alentejo, plus revue depuis la reforme agraire constatée ici sur le terrain avec ma mère portugaise, après la révolution de 1974.
Aujourd’hui escale de Coruche en Alentejo exploitée par le liègeur Amorim, jusqu’à Porto en belle crépusculaire du Douro…
Le tri des bouchons en liège naturel destinés au haut de gamme des domaines viticoles. Un bouchon vaut de 0,2 cent à 2 euros pour ceux en liège naturel, par exemple au Château Margaux.
Et un autoportrait d’homme liège tronc qui a forcément rajeuni depuis 1974 et se souvient du moulin maison aménagée en haut d’une colline alentejane par un ami peintre de sa maman…