Ceci n’est pas un voyage de paresse ni une dépression naturelle, juste un lundi de Pâques à Becy sur Cure, Bourgogne. Ici, du haut du Plateau, modeste variante bourguignonne du causse, dont on fait le tour dans la famille Cacot depuis des lustres, moi m’y étant un temps greffé.

Au bord de la baignade interdite par arrêté municipal.
Signes de vie présents, 2 cygnes de pure beauté de printemps.
Qui s’offrirent ici halte séchante avant de repartir au gué des primevères.

Hors saison des soldes sur le blanc.
Malaparte en adaptateur ,
blague à part sur fil
d’avril d’abeille pré bourdonnant…
Aux fils d’avrils balbutiants mes ailes battaient sans faim.
et mes fils à la patte, qu’en faire ?
