10 êtres racontent leur première fois en train, c’est-à-dire leur premier voyage, pas quelque…
acte ferroviairement consommé sur des banquettes de skai, de tissu rêche ou de velours de première classe, ni coucehttes de train de nuit au retour d’Italie ou du Portugal, de Luchon ou Clermont, non non non !
Entendons-nous bien, on parl de trajets. Ici, sur le site TGV magazine.com et là :
La première voyageuse à gauche en haut, Akouavi, béninoise sanglée dans son trench coat, est ma préférée. Voici, en bonus, ce qu’elle ne pouvait ajouter dans une perspective narrative ferroviaire franco-française :
« A 7 ans, je retourne dans mon pays d’origine, le Bénin, un train du Sud, au littoral, de Porto Novo jusqu’au centre, à Abomey. Coloré, pittoresque, des vendeuses d’un bon plat typique, le cul de dinde, dont le nom m’avait surpris…
Et en France ? A 15 ans, une couchette en première dans le mythique Train bleu, d’Antibes à Paris. Moments de partage avec des dames me racontant leurs voyages. »
En second bonus, les deux étrangers sont le témoignage fut écarté pour la même raison :
Lynette De Sil… et Nev Max…, 31 et 28 ans, consultante et commercial
Lui : « j’ai 8 ans et je vais au Royal Melbourne show, un festival australien pour enfants très connu où l’on gagne des cadeaux ».
Elle : « J’ai 7 ans, un train de nuit de Singapour vers la Malaisie jusqu’à Cameron Highlands, région des plantations de thé (à 200 kilomètres de Kuala Lumpur). On était à 10 familles, très bon souvenir ! »
voici la suite du cahier spécial 75 ans dans le numéro 150 (ou presque) :
L’homme qui a battu le record de vitesse à 507 ci-dessus et ci-dessous, les Rolling Stones en route vers le Sud, c’est si bon, pourquoi s’en priver !
Et notre Bardot nationale jeune encore, avant sa retraite tropézienne et qu’elle devienne un peu tarte (pas pu résister, pardon) :
Quelques chiffres pour se finir, entre deux pages de pub mises au noir, tant mieux :